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geneapope
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Histoire générale et locale, anecdotes, poèmes, recettes de cuisine... et divers.
Catégorie :
Blog Société
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12.05.2008
Dernière mise à jour :
07.12.2015

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BIENVENUE

Publié le 31/12/2015 à 06:11 par geneapope

Bonjour et bienvenue à tous ceux qui visiteront ce site.

 

Il est sans prétention, et j'espère que vous y trouverez des textes qui vous plairont.

 

Vous pouvez laisser des commentaires.

 

Bonne visite.

 

NB : pour une navigation plus aisée, utilisez les rubriques, en cliquant sur chacune d'elles, sur votre gauche.



Le lycée d'Orléans en 1809

Publié le 07/12/2015 à 18:13 par geneapope

Département du Loiret

 

Lycée d'Orléans

 

Avis aux pères de famille

 

A compter du 1er octobre prochain, les pères de famille pourront placer leurs enfants au Lycée, en qualité de demi-pensionnaires.

Les demi-pensionnaires participeront à tous les exercices religieux; ils seront instruits et préparés dans le Lycée pour la première communion, et soumis à la même discipline que les pensionnaires.

Ils recevront les leçons des professeurs et des maîtres d'études, de dessin, d'écriture et de danse.

Ils seront reçus au Lycée dès l'âge de 8 ans, pourvu qu'ils sachent lire et assez bien écrire pour décliner des noms.

Ils entreront chaque jour au Lycée à huit heures du matin, et en sortiront à sept heures du soir. Pendant le temps des promenades ils seront libres de se retirer chez leurs parents ou de suivre les pensionnaires.

Il seront tenus à une mise propre et décente; il leur sera permis de porter un uniforme. L'habit complet sera en drap gris de fer, de la nuance adoptée dans le Lycée pour les pensionnaires, avec les boutons du Lycée, les parements et le collet de même couleur que le corps de l'habit. Cette dépense sera à la volonté des parents, qui seront chargés de l'entretien de leurs enfants et de la fourniture des livres classiques, papier, plumes et encre.

Le prix total de la demi-pension sera de 400 fr., en y comprenant les leçons des maîtres de dessin, d'écriture et de danse, et les rétributions dues aux professeurs du Lycée et à l'Université impériale.

Il est à propos de faire observer :

1° Que le Lycée entretient à ses charges, indépendamment des deux chefs, dix-neuf personnes enseignantes, savoir : un aumonier, pour les instructions religieuses, huit professeurs et sept maîtres d'études pour l'enseignement du latin et des mathématiques, et trois maîtres pour les arts, savoir : pour le dessin, l'écriture et la danse. Il y a un professeur et un répétiteur pour chaque genre et chaque degré d'instruction.

2° Que les seuls élèves du Lycée, pensionnaires ou demi-pensionnaires, ou externes, ont droit d'être admis à concourir pour les vingt bourses attribuées à la ville d'Orléans. C'est pour cette raison que de tous les établissements particuliers d'instruction, il n'y a que la maison de M. Moisard dont les élèves, en qualité d'externes du Lycée, aient été admis au concours ouvert pendant le mois d'août dernier par MM. Coeffier et Budan, inspecteurs-généraux de l'Université.

Ces observations sont présentées pour des motifs purs et avec des vues désintéressées : elles sont plutôt en faveur des pères de familles jaloux de procurer à leurs enfants une instruction solide, que pour l'utilité du Lycée, dont l'existence et la prospérité sont garanties et assurées par la sagesse des décrets impériaux.

Fait par moi Proviseur, chef du Lycée d'Orléans, le 16 septembre 1809.

 

                                               Signé : Genty.

 

 

 Source : Annales périodiques de la ville d'Orléans, département du Loiret, 6ème année, n°599, mercredi 27 septembre 1809, p. 221,222).

 

 



Le Cotignac d'Orléans

Publié le 30/10/2015 à 19:05 par geneapope

Une douceur de confiserie à la pâte de coing.

 

La ville d'Orléans est aussi connue pour son Cotignac, que l'on vend encore dans la ville, et dont la réputation de délice n'est plus à faire.

Le Cotignac, pâte de coing très sucrée, tient son nom de l'ancien français "coudougnac", du provençal "codonat", de "codouh", coing.

 

Voici ce qu'on en disait :

 

"La Confiserie Saintoin est l'une des plus anciennes industries de la région. Fondée en 1760 par Jean SAINTOIN, qui lança, avec le succès que l'on sait, son fameux Cotignac, elle connut rapidement une renommée régionale.

"Mais, vers le milieu du siècle dernier, les descendants du fondateur entreprirent, par l'adjonction d'un important matériel, d'une part la fabrication du chocolat et, d'autre part, celle des liqueurs de haute qualité.

"D'emblée, Saintoin devenait, par son chocolat et sa confiserie, une affaire nationale. Par sa distillerie, il faisait mieux encore, puisqu'il obtenait la médaille d'or à l'Exposition d'Amsterdam, pays du Curaçao.

"Observons en passant que la réunion de ces trois activités dans une même firme est un fait presque unique en France.

"Depuis le début du siècle, sous l'impulsion d'une nouvelle direction, les modifications apportées à l'équipement et àux installations se sont poursuivies au rythme accéléré que commandent l'organisation moderne du travail et surtour les légitimes exigences du consommateur moderne.

"Les dragées d'Orléans (qui s'en vont bien souvent porter fièrement le nom de notre ville au-delà des mers) sont fabriquées, comme les praslines d'Orléans, dans de vastes ateliers qui viennent d'être spécialement aménagés et conditionnés.

"Mais c'est dans le département "Chocolaterie" que la transformation la plus radicale a été accomplie : Abandonnant pratiquement la fabrication du chocolat ordinaire, Saintoin s'est spécialisé depuis la dernière guerre dans les chocolats fins, à croquer, au lait, aux noisettes. D'un matériel très important et perfectionné - et aussi d'un secret de fabrication ! - naissait le fameux chocolat "goût suisse".

"Comme on le voit, la Firme Saintoin, qui fêtera son deuxième centenaire dans quelques années, est à la fois très vieille et très jeune".

 

"Les documents de France", "Loiret, Alépée et Cie, éditeurs-imprimeurs, Paris. p.196. (texte reproduit "in extenso")

 

Voir : cotignac-orleans.fr

 

 

 



LES CHIENS DU GUET

Publié le 16/02/2015 à 06:00 par geneapope

Un jour sur la grève

Entre deux rochers

A l'heure du rêve

Un vieux m'a conté

L'histoire authentique d'un jeune marin

Qui fut sans réplique

Mangé par les chiens.

 

Quand la nuit tombe sur la ville

Portes closes, dormez Malouins

Les bandits resteront tranquilles

Sur la grève, lâchez les chiens.

 

Quand tintait Noguette

Pour le couvre-feu

Finissait la quête

Sur les rochers bleus

Gardant le négoce

Du port endormi

Les dogues féroces

Veillaient dans la nuit.

 

Quand la nuit tombe sur la ville

Portes closes, dormez Malouins

Les bandits resteront tranquilles

Sur la grève, lâchez les chiens.

 

La belle peu sage

D'un riche bourgeois

Charma au passage

Un marin du roi

Dans la chambre sombre

Attendit longtemps

Pendant que dans l'ombre

Vont les chiens hurlants.

 

Quand l'amour rôde dans la ville

Dorment en paix les gens de bien

Les amants se tiennent tranquilles

Car sur eux sont lâchés les chiens.

 



1- La grappe de raisin

Publié le 01/10/2013 à 01:06 par geneapope

1- La grappe de raisin.

 


Une mère donna à sa fille une grappe de raisin. La jeune fille, après l'avoir prise, pensa que cette grappe ferait plaisir à son frère et la lui porte.

Le frère la prit et se dit : Mon père, qui travaille là-bas, doit être fatigué : portons-lui cette grappe rafraîchissante. Le père accepta la grappe, puis apercevant sa femme non loin de là, il s'empressa de la lui offrir.

C'est ainsi que la grappe de raisin revint dans les mains qui l'avaient donnée, et la mère remercia le Ciel de l'amour et de l'union qui régnaient entre tous les membres de sa famille.

 

Exercices :

 

- De qui une jeune fille reçut-elle une grappe ? Qu'en fit-elle ? Pourquoi le frère ne la mangea-t-il pas ? A qui le père l'offrit-il ? Pourquoi la mère remercia-t-elle Dieu ?

 

- Racontez ou lisez cette histoire au : a) présent de l'indicatif : une mère donne... - b) passé défini : donna, - indéfini : a donné... c) futur : donnera... d) conditionnel : si une mère donnait (avait donné) etc... la jeune fille penserait (aurait pensé) que cette grappe ferait, etc.

 

- Séparez les syllabes, et épelez : la mère, mer, le maire, cher, la chaire, quitter, guider, mourir, nourrir, santé, exauça, la terre, taire, l'air, erre, le coeur, choeur d'église, remords, conscience, membre, raisin, plaisir, il prit, il prie, le prix.



Françoise DOUANNEAU

Publié le 20/09/2013 à 12:39 par geneapope
Françoise DOUANNEAU

L'église de Lorges (notrefamille.com)

 

Françoise DOUANNEAU (née en 1757, décédée le 16/11/1792 à Lorges, Loir-et-Cher à l'âge de 35 ans) porte dans l'arbre généalogique le numéro 283 (numérotation Sosa-Stradonitz).

Epouse de Jean (René) CHERON, journalier (1738-1820) elle eut de lui cinq enfants, dont le dernier : François, né à Lorges le 27 septembre 1792.

 

La vie dans les campagnes était dure à l'époque, et les femmes devaient souvent se livrer à de durs travaux.

De santé précaire, et sans doute mal remise de ses dernières couches, elle décède 50 jours après la naissance de François d'une façon insolite et affreuse.

En effet, son acte de décès porte la mention suivante :

 

"... laquelle femme est morte subitement et était attaquée d'une épilepsie. Son accès l'ayant pris lorsqu'elle allait puiser de l'eau, elle est tombée dans le puits et s'y est noyée, ainsi que l'a reconnu le Juge de Paix du canton, et la municipalité en a dressé acte."

 

Inhumée le 18 novembre 1792 à Lorges (cimetière de l'église), "... ladite inhumation s'est faite en présence de son époux, de Pierre Raphaël Michau, chirurgien, et d'autres."

L'enfant décèdera à l'âge de deux mois.



Balthazard RUHLMANN

Publié le 20/09/2013 à 12:18 par geneapope
Balthazard RUHLMANN

Lourde hache de bourreau, à deux mains (http://louisxvi59.skyrock.com/)

 

Balthazard RUHLMANN (numéro 16.282 sur l'arbre), né avant 1588, décédé le 07/03/1642 à Dambach-la-Ville, était un personnage important dans cette cité.

Membre du Conseil (1630), prévôt de la ville (1634-1638), et époux de Martha FRITSCH (av. 1590-1644).

Mais il avait aussi de plus sombres côtés !

 

Jugé pour adultères et incestes, il a été décapité sur la place publique et enterré par ses bourreaux dans le cimetière des non-baptisés.

Une partie de ses nombreuses concubines fut frappée en public avec des verges, une autre fut envoyée à l'exil. Cinq d'entre-elles firent pénitence à l'église.

Sentence aux A.D.B.R. Strasbourg, cote 2B340 (4).



Georges FRITSCH

Publié le 20/09/2013 à 11:44 par geneapope
Georges FRITSCH

La "porte du bas" de Dambach-la-Ville, Bas-Rhin (photo de l'auteur)

 

Les recherches historiques et généalogiques nous font parfois découvrir de curieuses anecdotes concernant nos ascendants.

Témoin Georges FRITSCH (né vers 1550, décédé le 02/08/1601 à Dambach-la-Ville), qui exerçait les fonctions de "gourmet" en cette ville. Il porte dans l'arbre généalogique le numéro 32.566 (numérotation Sosa-Stradonitz).

 

Un gourmet était un connaisseur en art culinaire et gastronomie, préparant des plats équilibrés et esthétiques, souvent très riches et complexes. Un connaisseur et dégustateur de bonnes choses. Sans doute une sorte de "traiteur" de l'époque.

Epoux de Marguerite SPECK, le couple eut au moins une fille, Martha (n° 16.283), qui épousera en 1608 Balthazard RUHLMANN, qui sera prévôt de la ville, et qui se distinguera aussi mais pour d'autres raisons.

Georges FRITSCH mourut d'une façon insolite à l'âge d'environ 51 ans. En effet, son acte de décès porte la mention suivante :

 

"Mort foudroyé sous la porte du bas".

La photographie nous montre cette "porte du bas", endroit exact de son décès, porte médiévale monumentale qui existe toujours à Dambach-la-Ville, et j'y pense chaque fois que je passe dessous.

Curieuse façon de trépasser tout de même !



Au Queens

Publié le 18/09/2013 à 16:10 par geneapope
Au Queens

Avec des copains au Queens, à Papeete, île de Tahiti.



A Papeete

Publié le 18/09/2013 à 16:07 par geneapope
A Papeete

A l'hôtel Pitate, à Papeete, île de Tahiti.



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